bon, merci pour vos messages. J'ai enquêté un peu de mon côté et en effet, l'image ci-dessus est vectorielle mais elle contient beaucoup de choses inattendues. Déjà, lors de l'export en eps, la figure créée ne semble pas pouvoir être ouverte par des applications 64b sous windows 7 (il faudrait que j'essaie sous linux). : c'est assez bizarre et je ne suis pas du tout certain de "ma" conclusion. Ceci dit, en exportant en pdf, il est possible d'ouvrir le fichier dans Illustrator ou Inkscape.
1 - Sous Illustrator : les choses se passent assez mal. En fait, les faces du cube ne sont pas "sélectionnables" et sont de type "Non-native art" (je ne sais pas ce que ça signifie). Par contre les arêtes en couleur "brown" sont bien des "strokes" usuels et toutes leurs propriétés vectorielles sont accessibles (couleur, poignées de contrôle, épaisseur...) d'où le meilleur affichage graphique et le non crénelage relevé par GMaths.
2 - sous Inkscape : après plusieurs cliques droits pour "dégrouper" les objets (chaque facette du cube est constitué d'un polygone de couleur accompagné de plusieurs masques de découpe (apparemment)), chaque facette est accessibles entièrement et il est possible de modifier sa couleur et sa forme (ici, la facette déformée verte).
Le crénelage mentionné par GMaths et bien visible sur la figure n'est donc pas un problème de pixelisation mais a priori de superposition de plusieurs masques (dont on peut questionner l'utilité) dans le fichier vectoriel pdf : des conclusions identiques prévalent pour le fichier eps sous Inkscape. Quand ces masques sont éliminés, le crénelage disparait : c'est assez inattendu mais c'est apparemment ce qui se passe. Il se peut aussi que ça dépende de l'application d'édition du fichier : vous pouvez remarquer la différence au niveau de crénelage lors de l'affichage du cube dans Illustrator et dans Inkscape. Ce cube donc est bien vectoriel mais contient pas mal d'éléments assez nocifs pour un affichage de qualité. Ceci dit, pour des formes plus complexes avec gradients et lumière, la pixelisation dans Asymptote est bien là (enfin, je crois).
Initialement, je pensais que chaque facette serait un simple polygone pour lequel l'accès aux poignées de contrôle et à la couleur serait immédiat. Les choses sont plus compliquées mais pas insurmontables. Un peu d'édition dans Inkscape est quand même nécessaire pour un affichage parfait.